Team Building Rhône - Animation séminaire d'entreprise à Lyon et Rhône-Alpes - Facilitateur Animateur 69
Team Building R Team Building R




Animateurs et consultants - Artistes - Coachs - Facilitateurs - Formateurs - Techniciens de vote électronique





La RSE : son mode de fonctionnement, ses principes et ses enjeux


Adoptée par de nombreuses entreprises œuvrant dans différents secteurs et domaines d’activité, la Responsabilité Sociale des Entreprises, également appelée Responsabilité Sociétale des Entreprises, est une pratique très en vogue actuellement. Cependant, bien plus qu’un simple effet de mode, la RSE est une démarche basée sur de réelles valeurs impliquant la responsabilité et la contribution des structures. Mise en œuvre à travers un éventail d’actions, elle permet aux entreprises de prendre des initiatives et de mener des projets concrets axés sur les principes et les enjeux du développement durable (enjeux environnementaux, sociaux, économiques et éthiques).

Contactez-nous pour plus d'informations !
contact@team-building-rhone.com
Tél. 04 72 78 68 81

La mise en pratique du développement durable à l’échelle de l’entreprise

Le concept de RSE ou RSO (pour les organisations) tire son origine, dans les années 1950, des ouvrages de certains industriels et managers américains. Dans leurs travaux, les professionnels supposent que les entreprises ont tout intérêt à être plus responsables dans leurs activités. En gérant mieux leur impact sur la société et sur l’environnement, les structures établissent un système vertueux qui fait que, en plus d’améliorer le cadre de vie des individus et de contribuer à la préservation de la planète, elles ont la possibilité d’accroître leurs profits et de réaliser des économies.

Dans la deuxième moitié du XXe siècle, les problématiques environnementales, sociales et économiques ayant pris une certaine ampleur et avec l’essor de la mondialisation, la responsabilité des entreprises revêt une importance capitale pour les consommateurs dans de nombreux pays du monde. La RSE est alors devenue le fer de lance du développement durable à l’échelle de l’entreprise.

La démarche regroupe l’ensemble des pratiques mises en place par les structures dans le but de respecter les principes à la base des ODD (Objectifs de développement durable). Les directives sont assez simples : avoir un impact positif sur la société, mieux respecter l’environnement, et ce, tout en étant économiquement viable. Pour atteindre ces objectifs, les entreprises sont amenées à mettre en place un certain nombre de bonnes pratiques et à adopter une approche impliquant toutes les parties prenantes (les collaborateurs, les clients, les fournisseurs, les actionnaires et autres acteurs).

Afin que la contribution des structures aux enjeux du développement durable puisse se faire dans un cadre clair et bien déterminé, la norme ISO 26000 définit les thématiques et aspects sur lesquels une démarche RSE devrait être axée :

·         La gouvernance de l’organisation

·         Les droits de l’Homme

·         Les relations et conditions de travail

·         L’environnement

·         La loyauté des pratiques

·         Les questions relatives aux consommateurs
·         Les communautés et le développement local


Concernant le volet législatif et réglementaire, les règles régissant les activités peuvent être différentes d’un pays à l’autre. En France, c’est la loi PACTE du 22 mai 2019 relative à la croissance et la transformation des entreprises qui établit la base législative et réglementaire de la RSE. Les nouvelles dispositions en vigueur (les modifications apportées aux articles 1833 et 1835 du Code civil, l’instauration du statut d'entreprise à mission) impliquent des obligations légales.

Une démarche multifacette, des outils pertinents

Dans un contexte où la tendance est à l’écologie, à l’éthique et à l’écoresponsabilité, la Responsabilité Sociale/Sociétale des Entreprises renvoie à des valeurs et à des pratiques pertinentes (protection de l’environnement, réduction des émissions de gaz à effet de serre, amélioration de la qualité des produits, inclusion sociale, développement économique, etc.). Le fait que la démarche soit aujourd’hui présente dans tous les domaines et qu’elle intègre une réelle dimension institutionnelle témoigne largement de son bien-fondé et de son importance.

En se basant sur les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance), on peut analyser les principes fondamentaux de la RSE, et donc évaluer la contribution sociale/sociétale des entreprises, en tenant compte de trois principaux aspects :

L’environnemental

Puisque les activités des entreprises (production des biens et services, transport, gestion des ressources et autres) peuvent avoir d’importants impacts négatifs sur la planète, le volet environnemental constitue une véritable priorité en matière de RSE. En adoptant les bons gestes et en appliquant les bonnes méthodologies de travail ou de production, les structures peuvent grandement contribuer à la préservation de la biodiversité ou à la lutte contre le réchauffement climatique par exemple.

Réduction des émissions de gaz à effet de serre, recyclage, utilisation des énergies renouvelables, traitement des déchets, partenariat avec des enseignes responsables, la mise en pratique des principes du développement durable peut prendre différentes formes.

 

Le social

Le social est l’un des piliers de la RSE, car il traite de sujets et de problématiques majeurs tels que la santé, l’éducation, le bien-être ou encore le respect des droits de l’Homme. Les activités des entreprises pouvant avoir de sérieuses conséquences sur la société et les individus (la pollution, la dégradation de la santé humaine, des conditions de vie/de travail difficiles et autres), la démarche RSE leur permet de prendre des mesures et de réaliser des projets pour avoir un impact social positif.


L’économique

La contribution RSE des entreprises, concernant le volet économique, peut également prendre diverses formes. Les sociétés peuvent, par exemple, choisir de soutenir l’économie locale en faisant appel à des fournisseurs et des partenaires locaux. Elles peuvent aussi opter pour des pratiques plus vertueuses en termes de paiements en faisant preuve de plus de transparence dans les échanges, la gestion de leur fiscalité ou encore la répartition de leurs bénéfices.


Pour évaluer la portée et les effets de leurs actions en matière de RSE, et donc de développement durable, les entreprises peuvent actuellement recourir à différents outils. Ces supports servent à quantifier les performances des structures, mais également à analyser leur progression afin d’identifier les leviers qui devraient leur permettre de poursuivre et d’atteindre leurs objectifs. Parmi les outils de la RSE les plus sollicités, vous avez :

·         Le rapport RSE

·         L’AVC (Analyse de Cycle de Vie) : pour quantifier les émissions de gaz à effet de serre et les impacts sur l’environnement

·         Le bilan carbone

·         La DPEF (déclaration de performance extra-financière)
·         Le dialogue avec les parties prenantes

Facebook
LinkedIn